En cette heure tardive, je reviens enchanté de ma salle obscure préférée. Je suis allé voir "Deux jours à tuer", sortie la semaine dernière, avec en tête d'affiche Albert Dupontel et Marie-Josée Croze (et aussi un petit peu avec Daphné Burki de Canal +, si si).
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Pour tout dire, j'y suis allé un peu par hasard puisque je comptais en fait aller voir "Il y a longtemps que je t'aime" (porté par le magnifiiiiiiique "Alter Ego" de Jean Louis Aubert ^^) et que je me suis bêtement trompé d'horaire. Moi et les horaires... Oui,bon,bref.
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Me voila donc en route pour la séance de 22h30 et pour le dernier film de Jean Becker. Moi qui adooooore le cinéma français et les films un brin dépressif, forcément, celui ci était fait pour me plaire...
A travers son anti-héros qui envoie soudainement balader tout et tout le monde (parfois jouissif, parfois cruel)"Deux jours à tuer" propose plusieurs réflexions sur le sens de la vie. Il aborde par exemple le désir latent pour tout homme de "s'accomplir" avant le clap final, puis aussi la difficulté de voir naitre (et d'affronter) sa propre mort dans le regard de ses proches.
Le thème abordé est je pense assez similaire au "Temps qui reste" réalisé par Ozon il y a quelques années, ajouté ici à la puissance d'Albert Dupontel et au sens du bucolique de Becker (aaaaah, la pêche à la mouche dans les vertes vallées d'Irlande ! ^^).
Seul regret, la "clef" de l'histoire est assez prévisible (et plus encore si vous êtes en train de lire ce post.Milles excuses).Mais ça n'enlève à mon avis rien à la force du film...
A vous de juger.
!
"Quand l'orchestre s'arrêtera, je danserai encore...Quand les avions ne voleront plus, je volerai tout seul..."
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Pour tout dire, j'y suis allé un peu par hasard puisque je comptais en fait aller voir "Il y a longtemps que je t'aime" (porté par le magnifiiiiiiique "Alter Ego" de Jean Louis Aubert ^^) et que je me suis bêtement trompé d'horaire. Moi et les horaires... Oui,bon,bref.
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Me voila donc en route pour la séance de 22h30 et pour le dernier film de Jean Becker. Moi qui adooooore le cinéma français et les films un brin dépressif, forcément, celui ci était fait pour me plaire...
A travers son anti-héros qui envoie soudainement balader tout et tout le monde (parfois jouissif, parfois cruel)"Deux jours à tuer" propose plusieurs réflexions sur le sens de la vie. Il aborde par exemple le désir latent pour tout homme de "s'accomplir" avant le clap final, puis aussi la difficulté de voir naitre (et d'affronter) sa propre mort dans le regard de ses proches.
Le thème abordé est je pense assez similaire au "Temps qui reste" réalisé par Ozon il y a quelques années, ajouté ici à la puissance d'Albert Dupontel et au sens du bucolique de Becker (aaaaah, la pêche à la mouche dans les vertes vallées d'Irlande ! ^^).
Seul regret, la "clef" de l'histoire est assez prévisible (et plus encore si vous êtes en train de lire ce post.Milles excuses).Mais ça n'enlève à mon avis rien à la force du film...
A vous de juger.
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"Quand l'orchestre s'arrêtera, je danserai encore...Quand les avions ne voleront plus, je volerai tout seul..."
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PS : Dimanche 11Mai, il est 20h et je reviens une fois encore du cinéma. Je suis finalement allé voir "Il y a longtemps que je t'aime", et j'ai également beaucoup aimé. Elsa Zylberstein, Kristin Scott Thomas, la guitare de Jean Louis Aubert, tout ça, bouleversant.
Promis, le prochain film que j'irais voir, il sera léger et réalisé par Max Pécas ^^
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